LA MACHINE QUI FAIT DES PIEDS ET DES MAINS. Son utilisation par vous-même vous exposera aux risques que voici : - connaître d'indémêlables démêlés avec la maréchaussée (nuit au poste, condamnation à des travaux d'intérêts généraux pour dégradation du bien commun, honte, mauvaise conscience, remords, nuits blanches, rongeage d'ongles, nervous depression...............................). - Se la voir confisquée par des membres de cette même maréchaussée, qui ne pourront pas s' empêcher, cabotins qu'ils sont, de l'essayer à leur tour, et de connaître par la même des tourments similaires aux vôtres (nuit au poste, condamnation à des travaux d'intérêts généraux, se la voir confisquée par d'autres membres de cette toujours même maréchaussée...). On appelle ça une histoire sans fin. Engagez vous donc dans la police, vous aurez peut-être une chance de la confisquer un jour à votre tour à un (con)frère faiseur de l'ordre !!? Et pour boucler, un conseil ; évitez à tout prix de la mal manoeuvrer, vous risqueriez alors de rouler sur (et donc de peindre) les pieds d'un passant, vert et impulsif. Jugez les conséquences.
Une machine à faire des ronds de fumée . Un projet qui me tient a coeur depuis prés de dix ans. De prototypes en prototypes, le rond de fumée s' est épanoui pour devenir spectacle. Les premières machines sont manuelles et fonctionnent avec de la fumée de cigarettes. les plus récentes sont toujours manuelles et ont désormais comme source de "fumée" de la vapeur d' eau que je parfume ou non , à souhait. aujourd'hui , jeudi 5 Mars 2001, un prototype automatique est en cours de réalisation. Fin 1999 Lors de ma participation à un festival intitulé "quand les machines riiiiiiiiiiiiiiiient au pays de Montbéliard" au centre d' art et de plaisanterie de cet même ville je me suis trouvé conforté et stimulé. j'y ai découvert et rencontré une famille : Une cinquantaine de sculpteurs de tous horizons étaient présentés . Un événement qui m'a "regonflé ". Pris d' un second souffle , je suis reparti à "fond les manots". J' ai depuis élargi mon domaine d' action . Je met au poins des idées qui me suivent depuis plus ou moins longtemps . La machine à faire des pieds et des mains désormais existe , ainsi qu' un dispositif a faire courir un bruit et aussi une machine a faire des martini-gin 5cI 2cl ... Reconnu aujourd'hui comme "d' intérêt public", ces machines inutiles ne sont plus prêtes de s' arrêter de tourner.
Makette réduite au 1/100ème de la célèbre MALKORVET-MUZARINO. Il s'agit là de la version Luxior : Sièges peau de zèbre, bar TV, chaussée par la firme Boudinos, détecteur de képis, manche à air double rotor, boîte à gants climatisée, cartes routières internationales sur écran plat, allume-cigares ultra léger, WC achalandés du tout Fleuve Noir, triple carburation à injection néo-cutanée, klaxon 18 sons, repose-tête de chez Bultex, tapis d'orient, bloc moteur or massif, cendrier cristal, essuie glaces 6 vitesses, et surtout salle des machines entièrement insonorisée Lancée avec poigne sur le marché automobile en 1951, elle fut l'objet de nombreuses controverses à cause de ses trop performantes performances. Ce furent d'ailleurs ces incessantes menaces censurielles (le mot n'existe pas mais on s'en fout) qui conduisirent Ernst MALKORVET au suicide et réduisirent son si brillant associé Bob MUZARINO à une inextricable faillite. Un modèle de la MALKORVET-MUZARINO (appelée en son temps la M-M) existe et est encore visible aujourd'hui au Musée des Arts Ticho de BOSTON. Un autre exemplaire (invisible celui-là) est détenu par un collectionneur qui, on le comprendra sans grand peine, préfère garder l'anonymat. Il s'agit de Mr Michel DELPOIRE (garçon d'étage à BAGNOLES-DE-L'ORNE. 61 . ) qui s'emploie corps et âme à bichonner sa M-M. qu'il a méticuleusement parquée entre une 2 CV CITROEN de 1944 et une PARCKARD TWIN SIX IMPERIAL de 1916. Et quand on sait que cet obsédé du millésime a déjà rédigé un testament stipulant sa volonté d'être enterré dans sa M-M on est en droit de la trouver saumâtre.
la véritable histoire de CAROLUS COCAINOS...
ON LUI DOIT CERTAINES DES INVENTIONS LES + REDOUTABLES DE CES 67 DERNIERES ANNEES. 1962 - SES RECHERCHES EN MECANO-BOTANIQUE LUI PERMETTENT D'INVENTER L'EPLUCHEUR DE POMME DE PIN (ECHEC COMMERCIAL) 1963 - IL PUBLIE SON PREMIER (ET UNIQUE) OUVRAGE, INTITULE "TWENTY BLOOD THE NICE BACK". SORTI EN 2000 EXEMPLAIRES, C'EST AUJOURD'HUI UN COLLECTOR. 1964 - PERIODE CREUSE. 1965 - LA SEITA LUI FAIT UN PONT D'OR POUR QU'IL ESSAIE DE PROUVER (OU PLUTÔT DE FAIRE AVALER) QUE LE TABAC PERMET D'AUGMENTER LA DUREE DE VIE. IL TENTE L'EXPERIENCE, MAIS SE VOIT ASSIGNER EN JUSTICE PAR LE MINISTERE DE LA SANTE POUR TENTATIVE D'HOMICIDE ET INCITATION A LA TOXICOMANIE. 1966 - JUILLET. 1ère FUGUE. LES FORCES DE L'ORDRE LE RETROUVENT EN TRAIN DE CAMBRIOLER LA CAVE (BIEN GARNIE) DE SON ARRIERE-GD-PERE MATERNEL. ELLES LE TIRENT PAR L'OREILLE POUR LE RAMENER CHEZ DES PARENTS EFFONDRES. NOV. 2ème FUGUE. IL A JUSTE LE TPS DE FAIRE LE TOUR DU PÂTE DE MAISONS AU VOLANT DE LA DAUPHINE DE SON PERE, AVANT D'ALLER ROULER UNE PELLE A LA VITRINE DE LA BOULANGERIE DU COIN. DEC. ON LUI CONFERE SON EMANCIPATION, ET IL L'UTILISE BIEN, PUISQU'IL S'OFFRE UN TOUR DU MONDE AVEC LA SULFUREUSE DELPHINE COCAINOS (FRAÎCHEMENT EPOUSEE). 1967 - LE GOUVERNEMENT EN PLACE LUI DELIVRE UN BREVET POUR SON INVENTION LA + FULGURANTE; LA SUCEUSE (LUNETTES A LIRE LES PENSEES). C'EST AU COURS DE CETTE MÊME ANNEE QU'IL S'OPPOSE AU DROIT D'UTILISATION DE SA SUCEUSE PAR L'ARMEE FRANCAISE. 1968 - INVENTION DE LA FAMEUSE BAGUE-A-SEL. 1969 - IL PORTE SES MEMOIRES A L'ECRAN (DANIEL PREVOST INCARNERA LE PERSONNAGE), IL DIVORCE, IL SOMBRE DS LA DROGUE (DURE), IL ARRETE DE FUMER, IL CASSE LA GUEULE A FRANCOIS VALERIE, IL FAIT SA 1ère COMMUNION, ET IL INVENTE LES LUNETTES DE LUNE. 1970 - IL MEURT DE SA MOCHE MORT, PUISQU'EMPORTE PAR LA MALADIE. .
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